Les perroquets trouvent dans la nature une alimentation abondante et très variée. Ils se nourrissent à la fois de noix, graines, herbes et plantes, racines, tubercules, écorces, jeunes pousses, pollen, bourgeons et nectar de fleurs… L’alimentation en élevage sera à différencier en fonction de la taille de votre perroquet et en fonction de la famille, par exemple, les loridés ont une alimentation très particulière. Les éléments ci-dessous sont des généralités que nous détaillerons plus précisément..
Description physique
La perruche moine est un oiseau vert clair à l’exception de la tête, la gorge et de la poitrine qui sont gris souris d’ou son surnom. On constate le présence de bleu sur une partie des ailes, le bec est carné et les pattes sont foncées. On constate également différentes mutations de couleur.
Description physique
Cette perruche porte admirablement bien son nom. Le mâle a le devant du cou et la poitrine rouge. La tête est bleue, plus foncée sur la gorge et les joues. Le reste du dessous du corps est jaune tandis que le dessus est vert lumineux. Plumage jaune d’or, moins vif chez la femelle, qui est dépourvue de plumes orange sur le ventre. Triangle orange entre le bec et les yeux ; petit sourcil bleu; rémiges bordées de bleu; dos vert olive ; plumes voilières noires (marron chez la femelle). Les jeunes mâles sont d’un jaune plus vif que les femelles quand ils quittent le nid, mais n’ont pas encore de bande sur le front. Au bout de 6 mois, la première mue est achevée.
Description physique
C’est un grand lori rouge, mais d’aspect très différent des loris du genre Eos. Il mesure 31 cm, et pèse de 220 à 250 grammes. Les plumes du dos et des ailes sont rouge sombre. Les plumes de la poitrine et du ventre sont rouges et bordées d’une fine bande jaunâtre. Les primaires sont orange bronze, et la queue couleur rouille. Le bec est orange, avec du noir à la base de la mandibule supérieure chez la plupart des oiseaux. L’iris est orange. La peau qui entoure l’œil est grise, celle qui entoure la mandibule inférieure grise et jaune, les pattes sont grises.
Il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Les jeunes sont semblables aux adultes, mais avec une teinte générale plus sombres. L’espèce nominale n’a pas de sous-espèce.
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Une bonne alimentation de base contribuera à la bonne santé de votre Gris
Aucun oiseau ne doit être exclusivement nourri de graines sèches. En effet les graines sont pauvres en acides aminés (protéines) ainsi qu’en vitamines et sels minéraux. De plus votre perroquet aura tendance à privilégier les graines les plus oléagineuses et laissera les autres de côté, conduisant irrémédiablement à de graves carences. Je pense notamment à la vitamine A et au bétacaroténe, qui en cas de manque entraînera chez votre Gris une hypovitaminose A, affectant les poumons et le système digestif.
Le régime standard détaillé dans l’article « Alimentation des Perroquets – Généralités » ne tient pas compte de la spécificités des groupes de perroquets. Nous désignerons ici 4 groupes définis comme suit :
Description physique
Le plumage est d’un vert clair très lumineux, plus jaunâtre sur le dessus du corps. La longue queue semble pointue car les deux plumes rectrices centrales sont plus longues que celles latérales qui ont une coupe dégradée. Le front, le dessus de la tête, les joues et la gorge sont jaunes. Une large bande rouge traverse le cou. Les yeux sont oranges et les pattes grises.
Description physique
C’est un grand lori à la beauté tapageuse. Il est le seul lori vert du genre Chalcopsitta. Le front et les lores sont rouges, la tête noire. Le cou, la poitrine et le ventre sont vert olive et vert, striés d’orange et/ou de jaune (les flammèches). Les cuisses sont rouge écarlate, de même que la courbure et le dessous de l’aile de l’aile, et la base de la queue. Des tâches rouges parsèment la poitrine et le cou. Les ailes, le dos et la queue sont verts. Le bec et les pattes sont noirs, l’iris est brun cerclé de jaune. La peau nue qui entoure l’œil est grise.
Les mâles sont généralement plus larges, avec une tête et un bec plus grands, et ont plus de rouge sur la tête. Cependant, compte tenu des variations sub-spécifiques, ces critères ne sont pas fiables.
Les immatures ont le front noir ou rouge foncé. La teinte générale est plus sombre, spécialement sur les zones rouges. Ils présentent une teinte jaune brun à la base du bec, l’iris est brun, et la peau entourant l’œil est blanche. Le rouge de la face apparaît à l’âge de cinq ou six mois, mais il faudra attendre cinq ans pour que l’oiseau acquière sa couleur définitive.
Cette maladie virale encore appelée « pseudo peste aviaire » ou « paramyxovirose » chez le pigeon. Elle atteint de nombreuses espèces d’oiseaux sauvages de cage ou de volière, ainsi que les volailles et le pigeon chez lequel elle est redoutable.
La maladie de Newcastle existe dans de nombreux pays au monde, néanmoins certains pays européens ont sont de nos jours indemnes. C’est une « maladie légalement réputée contagieuse » à déclaration obligatoire.
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Un peu d’histoire…
C’est en 1975 que la maladie du bec et des plumes (Psitaccine Break and Feather Disease – PBFD) a été pour la première fois identifiée et formellement décrite. Elle a été reconnue depuis comme la pathologie la plus importante chez les psittacidés australiens. Les vétérinaires du monde entier ont cherché à expliquer la maladie par de multiples causes. Certains accusaient les graines de tournesol, tandis que d’autres évoquaient la consanguinité. La cellule de recherche de l’Université Murdoch a démontré que la PBFD était causée par un nouveau type de virus, dont les caractéristiques ont depuis été établies par les chercheurs de l’Université de Georgie.
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