Description physique
La perruche mélanure est la plus grande des polytèles ; elle mesure près de 40 cm. Son plumage général est jaune verdâtre, plus olive sur la nuque et l’arrière du cou. Elle a une queue noire, une croupe vert foncé, une bande ailaire rouge et des rémiges noir-bleu.
La psittacose est en réalité une ornithose, provoquée par Chlamydia psittaci. Elle touche d’autres espèces ailées comme les pigeons et n’est donc pas spécifique aux perroquets.
Cette maladie est transmissible aux humains : on parle alors de zoonose.
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Description physique
Elle est de taille moyenne avec un corps trapu. Le front est blanc, les joues et la gorge rouge vif et le reste du corps entièrement vert vif. L’iris est foncé et le bec est gros et carné. Les pattes sont claires.
Description physique
Cette moyenne perruche australienne est une proche cousine de la perruche à croupion rouge. Cette perruche a dominante verte arbore plusieurs couleurs, d’où son nom. Les males plus colorés sont facilement reconnaissables. Leur bec est surmonté d’une couronne de jaune vif. On retrouve aussi encore du jaune au niveau de l’ébauche des ailes. L’extrémité des ailes est bleu vif. Le ventre est orangé rouge, et le bout des rectrices de la queue bleutée se terminent sur une touche de blanc. Les femelles quand a elles, sont plus ternes ne présente pas de jaune sur la tête et le jaune des ailes et remplacer par du rouge bordeaux.
Le Trichoglossus haematodus comprend plus de 20 sous-espèces, très complexe à classifier et à différencier car elles correspondent à des différences de couleurs imperceptibles. Les plus connus sont Trichoglossus haematodus moluccanus, massena, capistratus, forsteni.
Description physique
Il est parmi les perroquets les plus colorés. En effet, la tête est bleu clair, une partie du cou est jaune tandis que la gorge est rouge-bleu. Le corps, vert intense est couvert « d’écailles » jaunes. Le bec est orange, les yeux ont l’iris noir bordée d’orange. Les pattes sont gris clair.
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Description physique
Elle a un plumage vert avec une calotte jaune d’or. Quelques plumes rouges sur les ailes, les coudes. Son oeil est orangé avec un iris noir. Le bec est grisâtre. Les pattes sont plutôt foncées.
Description physique
Ce genre comprend quatre espèces de loris à la fois très semblables et très différentes : le lori noir, le lori de Duyvenbode, le lori flammèche et le lori cardinal. Les quatre sont de grands loris à longue queue arrondie. Trois sont originaires de Nouvelle- Guinée, et un des îles de l’Est (le lori cardinal). Diamond, en 1972, commente l’évolution de ces espèces, décrivant trois d’entre elles (atra, duyvenbodei, et scintillata) comme une « chaîne de super-espèces occupant les terres basses de Nouvelle-Guinée, avec des contacts entre les populations qui ont été rompus et restaurés de nombreuses fois. Le genre consiste en trois semi-espèces virtuellement allopatriques, dont la distribution forme maintenant un cercle incomplet (brisé à l’est entre la baie d’Astrolabe et la rivière Kemp Welch) à la périphérie de la Nouvelle-Guinée ». Il n’a apparemment pas pris en compte l’existence de la quatrième espèce, ou considérait peut-être que l’espèce cardinalis n’appartenait pas à ce genre : au moins un taxonomiste ava
t lui avait classé le lori cardinal dans le genre Eos (Low, 1998).
L’un des traits remarquables du genre Chalcopsitta est que chacune des quatre espèces qui le compose est d’une couleur différente des autres : noire pour atra, marron pour duyvenbodei, verte pour scintillata, rouge pour cardinalis. Pourtant, si tous quatre sont de différentes couleurs, ils ont un certain nombre de caractéristiques en commun : La forme des plumes du cou, tout d’abord, longues, fines et pointues, très différentes des autres plumes de couverture. Ils possèdent également tous une bande de peau nue sous la mandibule inférieure, qui n’est pas très apparente car elle est noire, de la même couleur que le bec (sauf chez cardinalis, dont le bec est orange). Beaucoup moins discrète est leur voie, puissante et aiguë, et qu’on doit prendre en considération si on pense acquérir cet oiseau : les voisins risquent de ne pas apprécier ses efforts de communication ! Un autre trait caractéristique du genre est son vol, très différent de celui des autres loris, et qui permet de le reconnaître à coup sûr : les ba
tements d’ailes sont rapides, mais faibles, et le vol est lent, donnant l’impression de nécessiter beaucoup d’efforts pour peu de résultats.
Il y a peu d’information disponible sur la vie dans la nature de ces loris, et la plupart des connaissances viennent des observations faites sur les oiseaux en aviculture.
Description physique
Il a un plumage vert sur le corps avec le front allant du blanc au crème chez certains oiseaux ; une calotte bleue sur le haut de la tête ; le pourtour de l’oeil et certaines primaires sont rouges ; certaines primaires peuvent aussi être bleues comme les plumes secondaires ; la queue est vert jaunâtre avec l’extrémité pouvant être rouge ; la peau autour de l’œil est grise ; l’iris va du jaune pâle à l’orange ; les pattes sont grises.
es jeunes n’ont pas de rouge aux ailes et ont quelques plumes jaunâtres sur le front ; l’iris est noir.
Description physique
Originaire du Sud-est de l’Australie, cette perruche principalement verte doit son nom à ses plumes sus-caudales (croupion) qui sont d’un rouge éclatant. Son bec est noir, l’iris de ses yeux est jaune-orangé, ses flancs et son ventre sont jaunes. Ses régimes sont noires bordées d’un trait blanc et sa queue est verte teintée par endroits de bleu. Elle vit vers les jardins et terrains cultivés à proximité de l’homme. La perruche à croupion rouge se déplace en couple pendant la saison de reproduction mais rejoint des bandes atteignant la centaine d’individus en hiver.
La proventriculite ou PDD (Proventriculus Dilatation Disease), est une maladie mortelle d’évolution lente, responsable de troubles nerveux et de dysfonctionnements digestifs consécutifs à une destruction progressive des fibres nerveuses. Connue et redoutée des amateurs d’oiseaux depuis les années 1970, elle a été jusqu’à présent décrite chez plus de cinquante espèces d’oiseaux, dont la plupart des psittacidés (sauf jusqu’à présent la perruche ondulée), beaucoup de petits passereaux (comme le canari), les toucans, des rapaces (dont le faucon pèlerin) et des oiseaux d’eau.
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